Catégorie: Ecriture

août 9th, 2017 par Jean Sebillotte

 

« Comment traduire la quarantaine d’années de l’activité picturale de Jean Sebillotte commencée modestement dans les années 70 ? La réponse est simple : en commentant brièvement  ce parcours grâce ux photos prises par l’auteur. Trois tomes sont le fruits de cette démarche menée avec l’appui d’Oriane Sebillotte ».

Ce texte figure sur les 4e de couverture des trois tomes, en format 21×29.7, d’environ 100 pages chacun et rassemblant près de 1000 clichés.

Prix raisonnable de 10 euros par volume. Disponible chez l’auteur. Commander en utilisant le commentaire que je lirai.

JS

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juin 28th, 2017 par Jean Sebillotte

Quand Anne m’ a parlé de son projet de publier certains de ses textes, nous sous sommes promenés sur internet pour regarder les sites concernés. De fil en aiguille nous avons abordé la question de la couverture du livre. Je lui ai proposé mon aide. Comme elle avait de moi un tableau qu’elle aimait beaucoup nous l’avons utilisé en réalisant la couverture à deux.

Quant au texte, je l’ai beaucoup aimé. Je l’ai trouvé excellent et j’adhère au texte de la 4e de couverture avec mes excuses pour le flou)

JS

On peut se procurer le livre à la Librairie du square Lamôme à Versailles l

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juin 14th, 2017 par Jean Sebillotte

 

Distrait ? Oh combien !  J’ai évoqué une récompense de Terpsichore pour « Haut Pays ». Avec précaution heureusement…Je reçois le diplôme et découvre que le prix était attribué à un haïku que voici :

 

Hier au jardin

Le merle noir me chantait

La fin de l’hiver

 

Lecteurs, toutes mes excuses, comme à Terpsichore !

JS

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juin 5th, 2017 par Jean Sebillotte

Le titre est provocateur mais il est d’un linguiste. L’auteur, Jean Pruvost, commence son livre passionnant par nous montrer d’ou vient l’expression fameuse « Nos ancêtres les Gaulois… » Elle nous vient de Lavisse, auteur dont j’ai lu dans ma jeunesse les extraits qui émaillaient mes manuels d’histoire. C’est Lavisse qui développe à la fin du XIXe le roman national. C’est lui qui écrivit : « Il y a deux mille ans, la France s’appelait la Gaule. La Gaule était habitée par une centaine de petits peuples. Chacun avait un nom particulier, et souvent ils se battaient les uns contre les autres. » … « Elle (la Gaule) n’était donc pas une patrie car une patrie est un pays dont tous les habitants doivent s’aimer les uns les autres. » Pruvost en conclut souligne que, pour Lavisse, « la Gaule est le  point de départ d’une nation qu’il reste à édifier. »

Plus tard, Ferdinand Buisson, Directeur de l’Enseignement Primaire en France, confie à Lavisse un article consacré à l’histoire de France dans son Dictionnaire de pédagogique et d’instruction primaire.

Là, Lavisse écrit : « Il y a dans le passé la plus lointain une poésie qu’il faut verser dans les jeunes âmes pour y fortifier le sentiment patriotique. Faisons-leur aimer nos ancêtres gaulois et les forêts des druides. »

A l’époque les Gaulois étaient considérés comme des barbares.  Faute d’écriture, leur langue nous est inconnue, le latin s’imposant après Jules César. Des Gaulois Il nous en reste une centaine de mots (bièvre, chêne, alouette, tanche, lande, truand, magouille…)

Retour à Lavisse qui présente les Arabes dont « la brillante civilisation fut longtemps supérieure à celle des Occidentaux et influença heureusement celle-ci. »… Le quel Lavisse continue : « Sous les rois fainéants, la Gaule fut près d’être conquise par les Arabes. » Et Lavisse loue cette brillante civilisation arabe.

En France, cet intérêt pour les Arabes dure  jusques  à Renan et au-delà.

La situation actuelle est donc fort différente. Les Arabes ne présentent plus pour nous cet attrait passé. Pourtant l’arabe est la troisième langue à la quelle nous empruntons beaucoup de mots après l’anglais et l’italien. L’histoire ancienne l’explique comme l’histoire récente où l’on constate l’importance de l’arabe pour notre langue actuelle du fait de la colonisation et de l’immigration.

Le livre est donc consacré à ces emprunts directs ou indirects qui de l’abricot au zéro  ont enrichi notre langue notre ! Et le cheminement la plupart de ces mots nous est raconté en de nombreuses pages…

À lire donc pour les curieux de notre langue !

Jean S.

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mai 10th, 2017 par Jean Sebillotte

Déjà fut fait mention ici de l’association Terpsichore … J’avais envoyé trois poèmes. Est-ce l’un d’eux, voire l’ensemble des trois, qui a plu au jury pour un « diplôme d’honneur » ? Je le saurai plus tard. En attendant, voici les trois poèmes regroupés sous un titre unique.

Haut pays

Là-haut, le chant aigu

Des noirs sapins des cimes,

Des loups fauves et hantés

Dans le vent des remords.

 

Là-haut, dansent enchantées

Des armées de rapières,

Aux tombes exigües,

Aux sons fous des abîmes.

 

Là-haut, vivent terrés

Les fantômes des morts,

Guerriers nés de la pierre,

A jamais enterrés.

 

Jean Sebillotte

 

 

 

 

Pour les intéressés :  http://www.poesie-terpsichore.eu/index2.php

 

 

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