Voilà un beau sujet de dissertation. Que l’on pense à Rimbaud et à son oeuvre, quel abîme. Que d’études rimbaldiennes depuis son décès. Mais c’est particulièrement d’actualité à cause de l’Abbé Pierre, comme cela l’a été pour le fondateur de l’Arche. Des oeuvres admirables, célébrées, justifiant presque la béatification, et soudain la révélation d’une conduite sexuelle inadmissible.
En littérature on connaît le cas exemplaire de Céline qui a été abject dans sa conduite.dire combien . Pourtant Céline est un auteur consacré.
Je en veux pas ici disserter mais dire combien se pose de nouveau la question de l’homme (ou la femme) et de son oeuvre. L’oeuvre exonère-t-elle l’homme de ses actions ?
Il me semble que parfois certains sont plus sensibles à la musique qu’à la vue. Moi c’est, me semble-t-il le contraire. Ainsi j’ai aimé peindre et je me souviens d’une image déjà vue. Par contre j’ai comme une incapacité à retenir une musique et à la décrypter. Les musiciens ont cette aptitude, cette culture des sons. Qu’y puis-je ? Par exemple, un quatuor à corde m’est impossible à déchiffre et à aimer : trop complexe, trop savant. N’est-ce pas pour cela que j’aime les morceaux pour moi lisibles ? Le violoncelle seul de Bach joué par Pablo Casals… Telle chanson de Brel ou de Brassens aux paroles compréhensibles à l’opposé des musiques où la voix est come noyée dans un orchestre qui domine…
Pour moi, l’été qui n’est pas fini a été bien rempli. Aide à ma femme, jardin, vacances en Côte d’or avec la famille Sebillotte après les 4 jours à Berzé la Ville dans la famille Moineau et les 4 jours au Theil chez Geneviève ma plus jeune soeur et Jean-Marie son mari, administration familiale, poésie ont été mes occupations. La lecture en a pris un coup concurrencée par toute cette activités et les Jeux Olympiques que je n’ai pas boudés. Ici, j’ai passé des journées à peindre ce qui ne l’avait pas été, parfois depuis notre emménagement en 1975 ! Peindre et réparer. Je n’oublie pas une intense activité de mise en bocaux des fruits car 2024 a été une année à fruits. Il reste les pommes et les poires. Seul le raisin n’a pas résisté au temps pluvieux et chaud. Le soir je m’en vais à la lumière de mon téléphone tuer les limaces et les escargots? Pour ces derniers j’ai un pincement au coeur de les écrabouiller.
Les amis n’ont pas été oubliés ! Et j’ai suivi l’aventure politique de notre cher pays. Mais là, il faudrait en dire plus que sur mon jardin !
Bref me voilà prêt à la reprise, alors que je n’ai pas l’impression d’avoir été inactif ! Gym, orthophonie et kiné pour Chantal, RDV médicaux divers…
Quand on croit que tout va, un os : le texte publié n’apparaît pas. En allant dans la rubrique de l’aide, la seule explication que j’ai trouvée réside dans le rôle des modérateurs. Ce serait la modération qui expliquerait le retard à la publication. J’ai pensé qu’un nouvel article me donnerait une indication. Le voici publié…
Voici l’homme. Passons à ses idées qui, je le rappelle sont scientifiques. L’énergie c’est la chose qui change de température, de vitesse, de forme. Nos sources ont été le vent, le soleil, les animaux, nous… Nous qui avons utilisé : le bois, la houille, le pétrole, le gaz, l’hydroélectricité, le nucléaire, les renouvelables (le solaire et les éoliennes). Cela nous a permis de passer de 0.005 milliards d’humains à 6 milliars (prévus 8 au moins). On vit dans des villes gigantesques. avec une agriculture mécanisée et motorisée, une industrie considérable, des transports étonnants, etc.
Mais : 1 – le pétrole va manquer- 2- l’énergie carbonée émet du CO2 et cela se mesure. C’est l’impact, l’emprunte carbone qui se mesure pour la production des aliments, la bagnole, l’avion etc… – 3 – on vit en ville – 4 – notre niveau de vie a augmenté de façon considérable – 5 « même l’hôpital est très énergivore. Il représente 5% de l’emprunte carbone du pays… » -6 – mais on utilise toujours du bois et du charbon et le gaz se rajoute à ça !
Fallait-il tuer Christophe Dautheuil pour cette histoire de famille ?
Se procurer ce livre : Editions du bord du Lot
À Versailles : Librairies Antoine et La Vagabonde
À Porchefontaine : LIbrairie de la rue Coste
Et chez l'auteur, contact par mail.
Fred
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